Les élèves de sixième vous présentent ici quelques contes lus et appréciés, vous pourrez les emprunter au CDI !
Mme ARSAC
BOUTI
l’ogresse des temps anciens
de
Omar Youssouf Ali
Résumé :
Bouti
est l’histoire d’une ogresse des temps anciens qui sème la terreur dans toute
la région de Djibouti. Elle peut se transformer à volonté et elle mange les
femmes et les enfants. Un jour, les guerriers d’un village la capturent et la
tuent, mais comme ils ne lui coupent pas le petit doigt, elle peut continuer à
se transformer et à terroriser la région pour se venger.
Morale :
La
morale que je trouve pour cette histoire est : la ruse et la méchanceté
peuvent parfois l’emporter sur la gentillesse et la naïveté.
Les
guerriers, en voulant respecter la dernière volonté de Bouti, ne lui ont pas
coupé le petit doigt. A cause de cela elle a pu continuer à se transformer et à
tuer les gens du village pour se venger.
Remarques :
C’est bien un
conte parce que :
·
Le
récit commence par « il était une fois », ce qui montre qu’il se
déroule à une époque inconnue.
·
c’est une histoire dont le personnage
principal est imaginaire. Les actions du personnage méchant ne peuvent pas se
réaliser dans la réalité.
·
La
sorcière a des pouvoirs magiques. Elle peut se transformer en ce qu’elle veut.
·
L’histoire
est écrite de façon à distraire le lecteur. On y voit le bien et le mal, la
ruse et la méchanceté contre la gentillesse et l’innocence.
·
Mais
ce conte est différent d’un conte ordinaire car il a la particularité de ne pas
avoir une fin heureuse et il n’a pas de dénouement définitif.
Illustration d’Ivan
Bilibine, du conte « Baba Yaga »
Je choisirais
cette image parce qu’elle montre un personnage inquiétant, dans une forêt
sombre et effrayante. Le personnage au centre de l’image est moitié
humain, moitié arbre ce qui montre que
comme Bouti il peut se transformer.
Comme il a une
lance et un arc, ça me donne l’impression que c’est Bouti qui est plus forte
que les guerriers du village
Luan 6ème A
La Sorcière de la rue Mouffetard
et autres contes de la rue Broca.
de
Pierre Gripari
Le
conte choisi : « La paire de chaussures »
Résume
du conte :
C’est l’histoire d’une paire de chaussures
vivantes, Nicolas et Tina, qui vivent dans une boîte en carton dans un magasin.
Un jour, elles deviennent la propriété d’une dame, et doivent sans cesse marcher et être séparées. C’est
alors qu’elles trouvent le moyen de rester ensemble : faire tomber leur
propriétaire, qui enfin comprend l’amour qui unit les deux souliers. La femme
de ménage décidede prendre les chaussures pour les donner à sa nièce voyant que
leur propriétaire ne les met plus, mais une fois usées elles se retrouvent à la
décharge publique ou une jeune fille et un jeune garçon les clouent sur une
planche et les lancent à la mer pour un voyage de noces inoubliable !
Ma
propre morale de l’histoire:
L’amour
de deux êtres est si puissant qu’il n’est jamais perdant. On peut obtenir tout
ce que l’on souhaite quand on s’aime vraiment et pour cela nul besoin de fée ou
de génie.
Ce récit est un conte
car il raconte une aventure imaginaire : les deux personnages principaux
sont une paire de chaussures qui ont le don de parler.
Ce
récit est un conte car il nous apprend des valeurs morales sur l’amour.
Dans
ce récit, on peut repérer les différentes étapes présentes dans un
conte en général:
Situation
initiale : présentation de la paire de chaussures et leur lieu de vie.
Elément
perturbateur : la vente de la paire de chaussures à une dame, la
séparation des deux chaussures.
Les péripéties : les
chaussures qui passent de propriétaire à propriétaire pour
atterrir à la décharge.
L’élément
de résolution : une petite fille et un petit garçon les trouvent et les
réunissent sur une planche.
Le
dénouement ou situation finale : les deux chaussures partent en voyage de
noces sur l’océan.
Mais
dans ce conte, il n’y a ni fée, ni génie, ni formule magique, ni objet magique
pour venir en aide aux personnages de l’histoire. Ils sont eux-mêmes dotés d’un
caractère exceptionnel…
L’illustration
choisie : « La paire de chaussures »
de Vincent Van Gogh
Cette
peinture me rappelle la fin heureuse du conte quand, à la fin de leur vie, les
chaussures sont de nouveau réunies. Cette peinture me donne l’impression que
leur amour est invincible quand je les vois entrelacées ce qui rappelle la morale de l’histoire.
Idylle 6ème
A
« La sorcière du
placard aux balais » de Pierre Gripari
Résumé du conte
Pierre a acheté sans le savoir une maison hantée
par une sorcière. Un soir en revenant d'une fête bien arrosée, il chante la
chanson maléfique qui la fait apparaître. Elle lui propose de trouver
quelque chose qu’elle ne pourra pas lui donner et lui laisse trois essais
sinon, elle l’emmènera. Après avoir discuté avec les poissons magiques de
Bachir, Pierre trouvera finalement la solution et sera débarrassé à jamais de
la vilaine sorcière.
La morale de ce conte
La gentillesse et
l’intelligence,
Vaincront toujours
La méchanceté et la
violence.
Ce récit est bien un
conte car :
On peut classer ce récit dans les contes car il y
apparaît une sorcière qui est un personnage maléfique qui s’oppose à Pierre le
héros de ce conte et qui n’existe pas dans la réalité.La fin se termine bien
pour le héros, ce qui est très souvent le cas dans les contes.
Illustration
Le titre de la peinture que j’ai choisie est :
« Dans un conte de fées » par Ame Sauvage
J’ai choisi ce tableau car il représente pour moi l’image de
la maison au placard aux balais. :Une petite maison sans prétention mais
qui avec ses couleurs, me fait penser qu’elle est enchantée.
Romain 6ème A